L' hommage à Pierre Brun

L'HOMMAGE DES BAGNOLAIS A PIERRE BRUN:

UNE AFFLUENCE RECORD

Les Bagnolais se sont déplacés en grand nombre pour assister à l'hommage rendu à Pierre Brun le mercredi 16 janvier 2008 dans les locaux de la médiathèque de Bagnols sur Cèze à l'initiative de M. Gérard Mignard et en présence du maire de la ville.

En fait, la salle étant déjà bondée bien avant le début de la manifestation, une deuxième séance a été programmée le 30 janvier afin de pouvoir accueillir les quelques 80 personnes qui n'ont pu entrer le 16.

C'est M. Gérard Mignard, professeur d'anglais honoraire à l'Université de Paris III la Sorbonne, qui est à l'origine de cet hommage à ce musicien surdoué qui naquit et mourut à Bagnols après avoir bourlingué dans le monde entier. Gérard Mignard fut secondé par son ami René Ménozzi et bénéficia de la logistique exceptionnelle de la médiathèque de la ville dirigée par Mireille Justamont..

Bien sûr, un hommage fut également rendu à Jacques Hélian avec qui Pierre Brun passa ses années les plus fastueuses, à la fois à travers des témoignages envoyés par Patoum, Henry Merveilleux, André Paquinet, Claude Evelyne, Lou Darley, Denise Varène et George Blanc; et aussi à travers un DVD présentant Brun en gros plan dans l'orchestre que nous avons eu le plaisir de réaliser et de présenter.

Puis un diaporama évoqua Pierre Brun à la tête de sa propre formation et, comme tout finit par des chansons, toute la salle, jeunes (nombreux) et moins jeunes, entonna "La Petite Marie", "Etoile des Neiges" et "Fleur de Paris" sous la direction de Georges Salard et Louis Brun, avant de se diriger vers un buffet bien garni, pendant qu'un "boeuf" se déroulait tout à côté afin que la musique, et notamment le jazz, ne perdent pas leurs droits. A noter la présence de René Chave, un ancien de l'orchestre de Brun, qui joua aussi avec Hallyday, Distel ou Mauriat.

La centaine d'infortunés qui n'ont pu entrer ou ont dû s'asseoir par terre peuvent tenter la session de ratrappage du 30 janvier: se renseigner localement pour les horaires.

Roland Fauré, 18 janvier 2008.